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Date de création : 15.05.2009
Dernière mise à jour :
28.03.2018
6576 articles

Docteur en Histoire et enseignant à Paris, Mahmoud Ibrahime est le concepteur des nouveaux manuels scolaires qui seront, à partir de l’année prochaine, enseignés au collège. Il nous parle ci-dessous de ce vaste projet. ‘‘Les aspects abordés dans ce manuel essayent de répondre à la question de savoir d’où nous venons et où nous nous situons par rapport à l’histoire mondiale’’, dit-il.
Interview.
Vous êtes le concepteur des nouveaux manuels scolaires qui seront au programme à partir de l’année prochaine, quels éléments nouveaux avez-vous apportés par rapport aux anciens manuels ?
En réalité, il n’existait pas de manuels proprement comoriens. Les enseignants utilisaient des documents venus de l’extérieur et qui n’abordaient pas précisément l’histoire comorienne. En 2008, de nouveaux programmes ont été mis en place par le ministère de l’Education nationale avec le soutien du projet Pasec en histoire-géo, en éducation civique mais aussi dans d’autres matières. Pour la première fois, ils ont introduit l’enseignement de l’histoire comorienne dans les programmes. Parmi les recommandations des concepteurs des programmes, il y avait la nécessité d’élaborer des manuels scolaires, et il était dit que sans les manuels les programmes n’étaient d’aucune utilité. Il se trouve que depuis aucun manuel n’a été élaboré, sauf celui que j’ai fait depuis 2011 et qui a été validé, au moins, trois fois par les fonctionnaires du ministère, les inspecteurs et conseillers pédagogiques, professeurs de l’Université, des lycées et collèges. A la rentrée prochaine, il n’y aura qu’un seul manuel qui concerne les classes de 6e-5e.
Y-a-t-il un projet d’étendre l’expérience aux autres classes ?
Je suis en train de travailler sur le manuel de 4e-3e. Je ne connais pas d’autres projets en cours. Et c’est là où le bât blesse car certains se plaignent du fait que le Pasec est venu me chercher à Paris alors qu’ils sont là. Je n’ai fait qu’un manuel d’histoire en 6e-5e. Tous ceux qui veulent réellement apporter leur savoir-faire pour élaborer des documents pédagogiques aux élèves comoriens peuvent le faire au niveau du primaire, du collège, du lycée et même de l’université en histoire, en géographie, en éducation civique et dans toutes les autres matières. Il y a tant de choses à faire dans l’Éducation nationale ! Il ne sert à rien de se demander pourquoi c’est le travail d’un autre collègue qui est mis en valeur alors que soi-même on n’a rien fait ou on ne veut rien faire.
Est-ce un manuel d’histoire des Comores ?
Non. Et il ne faut pas qu’il y ait des confusions. C’est un manuel d’histoire pour les 6e-5e. Il se base sur le programme de ces deux classes et le programme élaboré sous la direction du ministère de l’Education nationale ne pouvait pas enfermer nos enfants dans l’enseignement uniquement de l’histoire des Comores. Seulement, aux chapitres classiques sur les civilisations grecque, égyptienne, judaïque, on s’est interrogé sur la rédaction de l’histoire à partir de l’exemple comorien et on a ajouté des chapitres sur les civilisations arabo-musulmanes, swahili et sur la société comorienne. En gros les aspects de l’histoire comorienne qui sont abordés dans ce premier manuel, essayent de répondre à la question de savoir d’où nous venons et où nous nous situons par rapport à l’histoire mondiale.
Quelles difficultés avez-vous rencontrées dans l’élaboration des manuels ?
Justement, faire un manuel scolaire c’est difficile et ça prend beaucoup de temps. Quand le Directeur du Pasec, Amroine Darkaoui (actuel doyen des inspecteurs), est venu me parler du projet à Paris, en 2008, j’ai tout de suite dit qu’il fallait une équipe d’historiens. Cela n’a pas été possible, donc j’ai dû fournir seul le travail nécessaire. C’est compliqué car, en plus des connaissances et de la pédagogie que j’ai acquiseS par ma formation, notamment à l’Institut universitaire de formation des maîtres (Iufm) et 17 ans d’enseignement en France, il fallait trouver les documents éparpillés un peu partout aux Comores, mais aussi en France. J’ai dû également faire une étude minutieuse sur le programme, en comprendre la philosophie et en sortir les notions à faire acquérir aux élèves, puisque les rédacteurs du programme ne l’avaient pas fait. Je me suis rendu à Anjouan pour rencontrer l’expert national qui était chargé de la rédaction des programmes d’histoire-géo, Soiffaoudine Sidi, pour mieux éclaircir certains points avec lui et j’ai été content de pouvoir échanger avec les enseignants, les inspecteurs et les conseillers pédagogiques lors de la validation.
En quoi ces manuels vont “révolutionner” l’enseignement aux Comores ?
Ce n’est certainement pas un manuel qui “révolutionne” l’enseignement. La révolution viendra des enseignants et certainement de leur formation. Toutefois, c’est un pas vers l’amélioration dans la mesure où le pays n’a quasiment pas de documents pédagogiques qui lui sont propres et que chacun fait ce qu’il peut dans sa classe. Les manuels, celui-ci et ceux qui arriveront, permettront d’uniformiser le contenu de l’enseignement et ainsi justifier l’uniformisation des examens sur l’ensemble du territoire.
Propos receuillis par Inoussa
Bonjour , je ne suis pas 1 historien. Mais juste 1citoyen Mgazidja et soucieux de savoir d'où ns venons pour ainsi dire comprendre où ns sommes aujourd'hui afin de déterminer où ns devons ns diriger . Et suite à cette quête que je mène depuis 1996 sinon bien avant . Je peux dire la ferme conviction de croire que ce n'est ni à Paris ni via le pasec que ns trouverons les réponses aux divers questions que ns ns posons . Mais surtout et pour tout en Pseudo-Continfnt Afrique/À-fric de l'Est , dpù nos aïeux PVATRU/BANTRU(selon la phonétique latino-française) viennent . Et oui ceux sont nos aïeux qui nous ont nommé Comoros , par leurs cris jadis à la vu du CIEL ROUGIT PAR LES DIVERS VOLCANS À L'AUBE DE LA CRÉATION DE NOTRE ARCHIPEL :Huko'Moro ils crièrent d'une seul voix . Avant de prendre leurs pirogue pour traverser les 300km qui séparent nos îles du continent !
Et oui mes chers , apprenons à user d'intelligences(capacité de discernement et non de mémoire de tous les balivernes ramassaient ici et là durant nos années endoctrinement et aliénation manifeste) pour mieux nous connaître . Car l'intelligence n'est pas le fait de tout savoir sans questionnement mais plutôt et surtout le fait d se questionner sur tout ce qu'on pense savoir , sans pour autant avoir à demander à d'autre encore pire ceux qui ont 1 intérêt certain ds ns savoir perdu , pour ns chiper notre bien "MAORAIS" et plus !
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